Au pied de l’église St Léger d’Arronnes nous sommes 11 seulement à déguster le très copieux café-gateaux sous un ciel un peu menaçant.
Après exposition de 2 parcours proposés par Daniel, nous optons pour la version difficile le matin et plus cool l’après-midi après le repas. Petite mise en jambes le long du Sichon, trois gouttes de pluie (même pas peur), et nous voici soufflants dans la pente raide qui nous mène à Doyat. Une petite pause et nous repartons en descente sur le Vareille. Bien sûr, après le ruisseau…une montée qui, passant par Morand, nous permet, en pente assez douce d’atteindre un petit bois qui est choisi comme lieu de pose. Nous dégustons une petite brioche aux pralines….au cas où la faim viendrait à nous tenailler. Encore un peu de montée et il est temps de descendre sur Le Pouthier en faisant un petit détour par Les Vignaud, histoire d’éviter la route, son goudron et ses voitures.
Nous retrouvons au restaurant, pile à l’heure prévue, 6 convives supplémentaires qui vont partager avec nous un bon repas. Il est quand même 14h30 lorsque les 16 marcheurs de l’après-midi (le comptage est assez difficile aujourd’hui) démarrent pour poursuivre cette rando. Le ciel est très clément et la température douce, c’est donc d’un bon pas que nous passons par Le Vernet, Chappes (qui rajeunit Bernard) puis l’Oyon. Un coup d’œil sur l’église de La Chapelle et traversant le Sichon aux Blondins, il ne nous reste plus que quelques pas en douce descente pour rejoindre les voitures. Encore quelques dégustations pâtissières et nous nous quittons après avoir encore passé une excellente journée le long de ces 20 bons km et 540 m de dénivelée.
Mardi passé le mauvais temps nous a privé de rando, mais ce 29 novembre il fait 8°, pas de vent et un beau ciel tout bleu. Voici certainement une des raisons pour lesquelles nous nous retrouvons à 37 au départ (ancien record pulvérisé).
Le programme du jour est concocté par Jean Louis sur son fief et il nous propose un circuit de 10 km presque en totalité sur la commune d’Abrest. Vu le nombre de participants, Bernard est très utile en serre-file.
Une traversée de l’Allier sur le pont de chemin de fer, LA difficulté du jour : un escalier mal entretenu, et nous voici partis en direction d’Hauterive que nous quittons rapidement pour longer la rivière jusqu’aux Graviers.
Traversant prudemment la route de St Yorre nous longeons le ruisseau de la Rama pour rejoindre les sources du Dôme et du Lys.
Nous avons la chance d’assister au prélèvement bihebdomadaire de la boue, faite de kaolin et d’eau de source, qui va servir au traitement des curistes de Vichy. Il ne nous reste plus qu’à redescendre sur l’Allier en passant au pied de la tour d’Abrest puis longer le ruisseau du Ruel et retraverser la rivière par le même pont qu’à l’aller. Un petit anniversaire à arroser et nous voici parés pour rejoindre Vendat.
Aujourd’hui nous sommes 22 au parking de l’église. Le temps est gris et frais, mais la pluie redoutée semble vouloir nous épargner. Le café gâteau toujours aussi apprécié dégusté, nous voici partis pour un parcours de 19 km et presque 400m de dénivelée quand même.
Jean nous a tracé un parcours agréable mais le manque de visibilité nous a privés de beaux points de vue ; ce sera pour une autre fois.
Nous descendons sur Bransat, franchissant le Gaduet, puis remontons sur le plateau et nous dirigeons sur Verneuil. Un petit coup d’œil à l’église St Pierre et nous passons devant Notre Dame de l’Eau avant de faire un petit bonjour au Géant Endormi que nous trouvons en très mauvais état.
Il est temps de repartir vers les vignes. Plus de raisin, ou très peu, à glaner, nous nous dirigeons donc rapidement sur Saulcet. Nous avons bien marché et nous avons le temps de nous offrir une petite visite à l’église peinte avant de nous attabler au restaurant des quatre saisons qui nous servira un bon repas.
A la sortie du restaurant, un nouveau regard sur le clocher de l’église ne permet toujours pas de solutionner une grave énigme : penche-t-il ou ne penche-t-il pas ? La consommation de St Pourçain (avec modération) n’a pas permis de résoudre le problème.
Sur ce constat d’échec, nous repartons sur Louchy Montfand par le chemin des écoliers (pardon, le chemin des randonneurs) le ciel est plus dégagé et nous profitons un peu du paysage. Nous rejoignons nos voitures vers 15 h 30.
Ca y est nous sommes passés à l’heure d’hiver pour les randos. Il faut déjeuner plus tôt pour être au rendez-vous à Vendat pour 13h.
Il semble bien que cet horaire ne soit pas un frein à la fréquentation puisque nous sommes 30 au stade pour un circuit de 10 km dans la forêt de Ris.
Bernard mène la danse et Jean Louis se retrouve en fidèle serre-file avec Serge.
Le chemin est bon et en montée régulière. 30 marcheurs, ça nécessite des regroupements un peu plus fréquents et c’est à Bardonnet qu’à lieu le premier ravitaillement en boissons. Nous repartons gaillardement pour atteindre le point le plus haut du jour 550 m aux alentours de Chez Piotte.
La forêt a pris ses couleurs d’automne mais malheureusement pour nous, elle est composée de beaucoup de résineux qui ne participent pas à cette palette de couleurs dorées.
La descente régulière et pas trop difficile est si vite effectuée qu’à l’approche de Ris Bernard propose une petite rallonge histoire de faire un détour par Toucan avant de rejoindre Taurin. Les 2km supplémentaires sont adoptés par tous si bien que notre circuit passe à 12 km et 400 m de dénivelée.
Au retour aux voitures, la luminosité baisse déjà sérieusement tant et si bien que l’arrivée à Vendat se fait à la nuit tombante ; c’est ça l’automne.
Brrrrr.. il ne fait pas chaud sur le parking de l’église de Monétay par ce matin gris. Heureusement les cafés-gâteaux et autres confiseries ont tôt fait de revigorer les 19 participants du jour.
9h sonnent au clocher de l’église quand nous partons sur les traces de Bernard qui nous guide aujourd’hui. Il s’offre même le luxe de nous faire passer à…Bois Bernard, il faut le faire !
Au milieu de notre trajet, vers la Glachère, nous avons le plaisir de croiser nos copains de la moyenne rando. Un petit bonjour et rendez-vous est confirmé au resto. Nous poursuivons notre périple qui nous amène au château du Riau aussi appelé Lachaise, longeons la boire de la Mouille et remontons en soufflant sur le plateau de Monétay. Nous admirons au passage le travail du jardinier qui s’est amusé à dessiner à la tondeuse une belle fleur dans une prairie.
Il ne nous reste plus qu’à nous rendre au restaurant honorer notre engagement pris (ce n’est pas trop pénible).
Deux belles tablées sont venues à bout sans difficulté du menu du jour, il ne nous reste donc plus qu’à renter à Vendat.
C’est une splendide journée qui s’annonce, il fait frais et à l’arrivée au Moulin Voir, point de départ de notre sortie, une petite gelée blanche recouvre les prés. Pour nous encourager, la table du café-gâteaux est déjà dressée et les 15 participants du jour lui font honneur avec plaisir.
Dès le départ, le soleil qui baigne déjà les sommets de la montagne bourbonnaise, nous encourage à gravir une pente raide qui, surplombant le Sapey, nous mène à Aurouer. Une petite pause et nous repartons Périasse et sa respectable bachasse. Nous continuons le GR de pays qui surplombe le cours du Sapey que nous imaginons au fond de la vallée sans toutefois le voir. Nous le traversons enfin juste avant le hameau du Sapey pour rejoindre Jean Jacques point culminant de cette rando à 923m . Une longue et splendide descente dans la forêt et nous voici, un peu en avance, arrivés à l’auberge des campanules où un bon repas va nous redonner l’énergie nécessaire à la poursuite de notre marche.
14h sonnent au clocher de La Chabanne quand nous reprenons notre marche. Nous descendons traverser la Besbre au pont de la Presle et remontons jusqu’à Ramillard. Il ne reste plus qu’à retraverser la Besbre (pourquoi pas ?) à la scierie de Besbre et nous voici de retour aux voitures.
Les 19,5 km et 655m de dénivelée que nous ont proposé Daniel et Jean ne nous ont même pas fatigués tant les paysages d’automne et le plaisir d’être ensemble nous ont ravis.
Une très très belle et bonne journée : Merci à nos animateurs pour tous ces bons moments.
Temps menaçant, chicoufs à garder et voilà….13 randonneurs seulement à l’église d’Arfeuilles : il va falloir se reprendre !
Daniel nous invite à le suivre sur un circuit de son cru de 11 km et 370m de dénivelée. Le temps couvert est doux, la visibilité est correcte, ce qui est essentiel pour profiter des paysages qui nous sont offerts ce jour. Les arbres n’ont toujours pas vraiment pris leurs couleurs d’automne, mais quelques châtaignes un peu maigrichonnes compensent notre déception.
Un petit bonjour au Barbenan en quittant Arfeuilles et une bonne montée douce nous conduit au Pied de Chave. Nous nous laissons glisser jusqu’à Pont Morel et longeons le ruisseau de Morel avant d’attaquer une montée de 230 m qui, à 600m d’altitude, au pied du calvaire, nous offre de beaux paysages.
Il ne nous reste plus qu’à descendre gentiment jusqu’aux voitures que nous rejoignons alors que quelques gouttes de pluie commencent à tomber.
Encore et toujours du beau temps, pas chaud, seulement idéal pour la rando, quel bonheur !
Nous sommes 31 au départ d’un circuit dans la forêt de Giverzat.
Jean et Jean Louis, tous deux de jaune vêtus assurent la rando, l’un nous guidant et l’autre assurant le rôle ingrat de serre file.
Nous quittons Deneuille par un chemin répondant au doux nom de …..Boulevard des Emmerdeuses : nombreux commentaires que la décence m’interdit de rapporter dans ces chastes lignes.
Un peu de marche à découvert et nous voici au cœur de la forêt de Giverzat.
Le terrain étant plat, nous avançons bon train ; une petite pause gourmandises et nous repartons en direction du ruisseau de Veauvre que nous trouvons totalement à sec. Mais sec ou pas il faut remonter sur le plateau et le petit sentier qui nous y mène est assez costaud.
Tout le monde en réchappera et la difficulté oubliée, la marche repart bon train pour en terminer avec les 14 km et 170m de dénivelée du jour.
Très agréable ballade, nous pouvons toutefois déplorer que cette splendide forêt n’ai pas encore revêtue ses couleurs d’automne ce doit être magnifique.
Retour à Vendat sans problème.
Ce matin, à la cabane à Paul de La Chapelle, toutes les randos se sont donné rendez-vous pour le café-gâteaux et ça fait du monde !
Pour la grande rando, ce sont 32 marcheurs qui décident, malgré la fraîcheur et le brouillard matinaux, de se dégourdir les mollets sur les 11 km et 370 m de dénivelée que nous propose Jean. Jean Louis vient lui prêter main forte assurant le rôle ingrat mais indispensable de serre-file.
Tout commence par la descente sur le Gué Chervais qui permet à certains de constater qu’ils auraient dû sortir les gants du placard : c’est l’Automne !
La bonne montée qui nous conduit au mont Péroux nous réchauffe franchement, bien qu’une petite coupure après le premier raidillon nous ait permis de déguster quelques pâtes de fruits proposées par Chantal. Le soleil est sorti de la brume pour notre plus grand plaisir.
Une petite descente et nous voici encore en côte en direction de Molles. Bien évidemment, nous nous accordons une petite pause au sommet.
Petite descente sur le Mansan que nous traversons sans soucis et nous remontons sur Nivière ; dénivelée insuffisante : pas de pause.
Le reste de la rando est, à part quelques mal-plats, relativement facile et c’est donc en pleine forme mais bien en appétit que nous arrivons au stade où nos organisateurs se sont surpassés : table mise, tout est prêt et….ça sent très bon !
Nous rejoignons les deux autres marches et c’est à 72 que nous dégustons un excellent repas servi par certains d’entre nous qui ont renoncé à la rando pour nous offrir un grand moment de plaisir. Grand MERCI à eux.
Ne parlons plus de records d’affluence, ils sont encore battus aujourd’hui puisque nous sommes 28 à Murat pour nous lancer sur les traces de Jean Louis à l’assaut du Rez de Sol et de ses 943 m d’altitude.
Pour pouvoir admirer le paysage depuis son sommet il nous faut le mériter.
Bien sûr, pour prendre de l’élan sans doute, nous commençons par une gentille descente, mais passé le moulin de la planche, une bonne grimpette nous amène à Chassangre. Un petit coup à boire et nous voici repartis en montée raisonnable jusqu’au Bois brûlé La pente assez raide qui suit nous amène jusqu’au Reix Marsalon à 902 m . Comme il faut bien corser la rando…..nous redescendons jusqu’à Gratteloup, puis attaquons les choses sérieuses qui vont nous permettre de profiter du sommet du Rez de Sol de 2 points de vue magnifiques et parfaitement dégagés par ce beau temps exceptionnel.
Une descente un peu mal pavée, un petit bonjour à la pierre de sang, que nous n’avons pas utilisée, et nous nous dépêchons de rejoindre Murat. Il est 18h passé lorsque nous clôturons cette belle rando par une photo de groupe (une fois n’est pas coutume).
A la descente des voitures à Vendat , nos jambes nous rappellent que nous avons fait 500m de dénivelée en 10,4 km et que cela représente quand même un bel effort.
Fin des chaleurs accablantes de cet été, nous reprenons les randos l’après-midi départ à 13h 30. Les trois niveaux de rando faisant de même, nous nous retrouvons plus de 50 sur le parking de Vendat, signe de la vitalité des marcheurs.
Les 20 grands randonneurs au départ de Vendat retrouvent sur place au château de Veauce 6 autres candidats à l’effort. Le record du 26 janvier 2016 qui était de 25 personnes est donc battu.
C’est Serge qui a aujourd’hui la charge d’accompagner cette joyeuse bande.
Un seul problème, faire rentrer tout le monde en une seule prise de vue dans l’appareil photo devient mission impossible, mais ce n’est pas bien grave.
Il fait une petite vingtaine de degré et le ciel couvert nous a fait le plaisir de ne pas devenir pluvieux ;ça change de la température de mardi passé
Un petit coucou à Lucie qui nous guette (parait-il) du haut de la tour du château et nous attaquons un beau chemin qui monte gentiment en sous-bois. Pas très dure la côte mais elle fait la moitié de la rando, jusqu’à Lalizolle. La deuxième partie est majoritairement en descente douce, moitié dans les bois, moitié en plaine. Nous ne tardons pas à revoir le château et après le passage du ruisseau de Veauce, il ne nous reste plus qu’à remonter un peu, histoire de ne pas rester sur une impression de facilité.
17 h 45 nous sommes de retour à l’entrée du château, les 14 km et 310 m de dénivelée ont été bien négociés par tous, il est temps de renter.
Ce jour est annoncé comme très chaud et les 20° au départ de Vendat à 8h00 le confirment. Heureusement, lorsque nous arrivons à Chateauneuf, c’est avec 15° que nous prenons notre café-gâteaux.
Les 19 randonneurs du jour vont donc pouvoir entamer cette belle rando sans trop souffrir de la chaleur.
Bernard nous propose un circuit de 14 km et quand même 560 m de dénivelée.
Tout commence par un petit moment de plat le long de la Sioule puis, passé le ruisseau des Cottariaux, nous attaquons une pente d’environ 5 km qui nous mènera au point culminant de la journée soit 713m. Pour cette première partie nous profitons au départ d’une belle partie boisée donc ombragée, mais par la suite le soleil se rappelle un peu à nous.
Vers 11 h 30 une petite pause nous permet de récupérer et de prendre un petit en-cas car le circuit est encore long.
Une longue descente bien mal pavée va nous faire rejoindre le ruisseau du matin d’où ……nous remontons jusqu’aux Boulons avant de rejoindre la chapelle St Valentin et….. redescendre sur Chateauneuf.
La boucle est bouclée. Il fait 34° et c’est près de l’établissement thermal que nous trouvons un beau coin d’ombre près de la Sioule pour notre pique-nique.
Compte tenu de la chaleur, personne aujourd’hui n’a ressenti le besoin de gravir quelques marches supplémentaires pour monter à la statue de la vierge qui domine le village.
Retour tranquille à Vendat dans nos petites autos climatisées et rappel en sortant de nos petits cocons qu’il fait 36° sur le parking.
Quelques inquiétudes ce matin, les essuie-glaces sont entrés en action sur le trajet, mais heureusement tout est rentré dans l’ordre arrivés à Arronnes pour le café gâteaux que les 22 participants du jour ont pu déguster au sec.
Daniel nous a mijoté un petit parcours de 14 km et 520 m de dénivelée.
Comme annoncé il y a bien 3 montées, mais la première est longue, longue, longue, comme une côte sans fin, avec à elle seule 230 m de dénivelée. Cheval- Rigon en sera le point le plus élevé avec 600 m.
Le soleil, pendant que nous nous élevons, se lève également et ne va pas tarder à bien nous faire transpirer, mais ne nous en plaignons pas, cette saison est bien souvent pluvieuse.
Une petite descente au Moulin d’Aiguillon sur le ruisseau le Vareille et nous remontons gaiement presque aussi haut qu’auparavant pour…..redescendre sur le même ruisseau avant de …remonter jusqu’aux voitures. Tu ne nous a rien épargné Daniel, mais tu sais te faire pardonner car tu as, plus que dignement, arrosé ton anniversaire par un apéro soigné et des tartes aux poires et un clafoutis aux mirabelles préparés par Madeleine qui ont régalé tout le monde. Pas particulièrement pressés de nous quitter, nous sirotons le café tranquillement dans la bonne humeur avant de décider de mettre fin à cette belle réunion.
Seulement 8 présents à Vendat, mais certains étant venus directement, ce sont 16 gourmands qui, sur le parking de Mariol, dégustent les bons petits gâteaux préparés par nos pâtissières chevronnées.
Le temps s’annonce très chaud mais ce matin il fait encore bon et le ciel est tout bleu. Les 11km et 430m de dénivelée vont donc pouvoir être parcourus dans de bonnes conditions. En plein effort lors de la première et longue côte, nous avons la surprise assez rare d’être dépassés par des VTT connus de certains d’entre nous. Petite causette rapide et nous les voyons s’éloigner rapidement.
Petite pause en haut de cette première difficulté et nous repartons pour Piégut
Descentes et montées se succèdent jusqu’aux Blettières et, avant d’attaquer la descente sur Mariol, nous nous arrêtons un instant pour admirer la chaîne des Puys et le Sancy totalement dégagés : splendide. Certains premières mûres, et j’en ai même vu qui ont vérifié si les reines-claudes étaient à point.
De retour à Mariol, nous nous installons confortablement sur une aire ombragée non loin du Darot qui fait un peu triste mine à cause de la sécheresse. La température dépasse maintenant les 30°.
Les casse-croûte engloutis (ça creuse l’effort) une petite tentative pour finir les gâteaux (sans toutefois y parvenir entièrement), un peu de balançoire pour certains et nous voici prêts à rejoindre nos pénates à bord de nos voitures bien chaudes.
Il est 8h45 quand nous prenons le petit café matinal au parking du col des Goules.
Nous sommes 12 participants et nos accompagnateurs du jour Bernard, Daniel et Jean ont prévu pour nos moyennes randonneuses quelques aménagements sur les 16 km et 610 m de dénivelée du parcours. Pour notre plus grand plaisir le sommet du puy de dôme est ce matin agrémenté d’un léger nuage du plus bel effet.
La troupe s’élance d’abord à l’assaut du col de Ceyssat par un large chemin presque plat qui se termine par un sentier étroit et pentu. Nous avons permis à trois de nos marcheuses de nous abandonner pour… prendre le Panoramique des Dômes et c’est donc en pleine forme qu’elles nous attendrons au sommet.
Nous attaquons le sentier des muletiers qui, avec ses 15 virages et 350m de dénivelée, va nous occuper intensément pour une grosse demi-heure. Un petit tour au temple de Jupiter pour vérifier l’avancement des travaux, un coup d’œil sur le panorama magnifique et nous voilà reparti pour la descente de 505 marches qui va nous amener sur notre lieu de pique-nique agréablement ombragé : le nid de la poule. Nous repartons pour quelques marches encore en descente et après un peu de plat nous voici au pied du Pariou et de ses 536 marches de montée. (Quelques uns vont sagement en faire le tour) Très beau panorama, nous pouvons voir une partie du chemin que nous avons parcouru et surtout le col de Goules où nous attendent nos voitures.
Merci à nos accompagnateurs et découvreurs de ce beau parcours.
Le café gâteaux dégusté sur le parking de l’école des Garniers , il est pile 9h lorsque la troupe des 14 randonneurs du jour démarre. Programme du jour : les 12 km et 500 m de dénivelée (et oui ! la région de Thiers n’est pas franchement plate) du sentier de la pierre folle sur les pas de Bernard. La température est douce mais le ciel couvert.
La première partie de la rando nous emmène en pente régulière mais soutenue passant par des hameaux aux doux noms de Jambost , Chopine et autre Bonnemoy puis, traversant le bois de la Pierre Folle, nous continuons notre montée jusqu’au point culminant du jour 666 m. Malheureusement la visibilité n’est pas au rendez-vous et il faut se contenter de notre imagination pour voir la chaîne des puys pourtant certainement présente. Un peu de faux plat descendant et nous voici partis pour la descente sur un chemin fort raviné, jusqu’au château du Gros Perdrigeon. Aucune chute parmi les randonneurs chevronnés que nous sommes et nous rejoignons le parking des voitures qui vont nous transporter sur le lieu de pique-nique découvert au début de la matinée. A noter toutefois que pas mal de courageux s’y sont rendus à pieds.
Pique-nique bienvenu, paisible et reposant avec le soleil de retour, quelques petits coups de rosé et autre bières (avec modération) plus tard et il est temps de rentrer à Vendat profiter du bel après midi qui s’annonce.
Très chaude journée en perspective (alerte canicule) c’est donc à 9h pétantes que les 16 participants démarrent d’un pied ferme pour un circuit de 13 km et quand même 520 m de dénivelée. Bien sûr un café gâteaux a préalablement été savouré devant l’église de St Clément avant de suivre Jean Louis.
Tout de suite nous sommes confrontés aux premières montées, il fallait s’y attendre , le secteur est inhospitalier aux maigrichons du mollet mais il n’y en a pas parmi nous.
Nous rejoignons le Coindre avant de poursuivre nos efforts jusqu’à la hauteur des Grandes Narses dans de beaux sous bois qui nous protègent de la chaleur qui s’accentue.
La redescente sur le Coindre va prendre des allures de pèlerinage pour l’une d’entre nous puisque nous passons sur son lieu de naissance au Moulin Herbin. Nous comprenons mieux sa forme de marcheuse car tous les jours elle empruntait ce chemin pour se rendre à l’école. Un petit moment de nostalgie pour elle et nous voici repartis vers Driffort et Compagnat avant de rejoindre S’ Clément.
Quelques minutes de voiture nous permettent d’arriver sur le stade de St Clément qui nous propose de jolies tables en bord de Besbre pour notre pique-nique, bienvenu après les efforts déployés. Quelques petits coups de blanc et de rosé plus tard (avec modération), quelques gâteaux et cafés dégustés il est temps de rentrer au bercail, le thermomètre étant joyeusement arrivé aux 37° prévus.
Encore une belle rando, merci à notre animateur du jour.
Aujourd’hui, Jean nous invite à le suivre sur un parcours de 13 km et 310 m de dénivelée, et après un café gâteau de plus en plus copieux sur les bords de la Sioule, nous acceptons son invitation avec plaisir. Les 17 randonneurs quittent Ebreuil un peu avant 9 h et, une fois n’est pas coutume, le groupe pose pour la photo.
Nous accueillons Armelle qui à son tour vient tester notre groupe de marche, nous lui souhaitons la bienvenue.
La sortie du bourg se fait par un joli sentier ombragé mais en nette montée avant de poursuivre en pente plus douce mais à découvert. Pas de problème avec le soleil aujourd’hui : il nous ignore totalement, mais la pluie aussi, alors tout va pour le mieux.
Belle descente avant de remonter au château de la Grave un domaine particulièrement entretenu, puis nous remontons à la chapelle St Michel sur la colline de sainte Foy, d’où nous profitons d’un beau paysage sur Ebreuil et plus loin la chaîne des puys. Une instructive intervention orale de Lucien nous apprend l’origine récente de cette chapelle. Il ne nous reste plus qu’à rejoindre Ebreuil où Geneviève nous attend pour arroser l’anniversaire de Jean .
Ils se sont tous les deux surpassés et boissons (avec modération) et gâteaux à profusion (et même plus) préparés par Geneviève nous ont comblés.
Un faible rayon de soleil vient quand même saluer cet arrosage.
Le temps de tout remettre dans les voitures et nous voici repartis pour Vendat sous un ciel redevenu gris.
Pas très facile à trouver le hameau de Banson, mais tout le monde a bien suivi Bernard (ou ses recommandations) de telle sorte qu’après le café gâteau de Martine, les 21 participants sont prêts à partir à 9 heures. Le ciel est un peu couvert, mais il ne fait pas trop chaud et c’est très bien, car nous débutons le circuit de 13 km et 300m de dénivelée par une bonne côte. La première pause sera donc une pause boisson et déshabillage (partiel).
Aujourd’hui pas de chemins inondés, juste quelques rares passages légèrement humides. Le chemin monte régulièrement souvent à découvert, mais le ciel restant nuageux, nous atteignons le point culminant du jour 666m sans difficultés. Passé « le Caire » si, si, nous commençons une douce descente qui , passant par l’étang de Chalusset, va nous mener au bois de Roucheyroux où la pente devient un peu plus accentuée et le chemin un peu rocailleux . Cela n’empêchera pas les yeux exercés de trouver quelques champignons qui rejoindrons rapidement les sacs à dos.
Un petit passage à gué du ruisseau des Buchailles et il nous faut remonter au niveau de l’autoroute avant de rejoindre Banson.
Belle rando terminée et, à 12h 30, il est l’heure de déguster nos casse-croûtes au hameau qui va s’avérer bien paisible : pas vu un habitant ni même entendu un chien : quel calme !
C’est donc bien reposés que nous entamons notre retour sur Vendat.
Il est à peine 9h et les 15 marcheurs du jour sont déjà au café gâteaux sur la place de l’église. Pendant ce temps Jean Louis notre animateur du jour est parti avec son ami Hubert porter (en voiture) nos casse-croûtes sur les lieux du pique-nique. Dès leur retour nous attaquons la rando sous un ciel et une température agréables.
Les chemins ombragés sont agréables si l’on accepte de temps à autres de « patauger » un peu, mais il en faut d’autres pour nous décourager. Nous sommes dans le bocage bourbonnais, de nombreuses sources viennent deci delà transformer les chemins en zones humides.
Bientôt notre trajet s’offre un petit détour dans la forêt de Messarges et nous voici, proche de 13h, arrivés à la « résidence de loisir » d’Hubert où nous attendent les repas ; du grand luxe, table et chaises pour tout le monde toilettes et eau courante et en plus le sourire et l’accueil de notre hôte : nous sommes gâtés. Toute bonne chose ayant malgré tout une fin, il est temps de repartir, toujours avec le beau temps et une chaleur supportable. Avec la complicité d’Hubert, nous faisons un petit tour dans le parc du château d’Issard pour admirer cette belle demeure sous tous ses angles. Un petit passage dans le parc histoire de donner à manger aux innombrables moustiques et nous entamons notre retour sur Autry empruntant tour à tour des chemins aux hautes graminées qui piquent les yeux de certaines d’entre nous et des chemins rivière qui mettent à l’épreuve l’étanchéité de nos chaussures.
Il est environ 16 h lorsque nous arrivons à la fin de nos 21 km et 220 m de dénivelée. L’orage menace mais nous avons terminé notre belle balade au sec. Il ne nous reste plus qu’à remercier Jean Louis et son ami Hubert qui nous a permis de pique-niquer dans le luxe.
Retour sur Vendat toujours sans pluie.
Malgré le temps peu encourageant pour le premier jour de l’été, nous sommes quand même 22 au départ de cette rando dans la Loire. Il faut dire qu’à midi le restaurant est réservé pour « les grenouilles » tant attendues.
Cette région que nous ne fréquentons rarement va s’avérer plus accidentée que le laisse supposer notre habitude de passer La Pacaudière en voiture.
La traversée du village médiéval du Crozet dès le départ, nous confirme dans notre intention de le visiter plus en détail.
Les 12 km seront émaillés de quelques demi-tours imposés par des herbes particulièrement hautes, mais ce premier contact avec la région est plutôt agréable et une nouvelle rando y serait la bienvenue.
Retour aux voitures et départ au restaurant de St Vivans où nous attendent nos copains de la moyenne rando et surtout un bon repas dont le plat principal « les grenouilles » sont attendues avec impatience. Nous ne seront pas déçus et c’est bien régalés et repus que nous revenons au village du Crozet pour en faire une visite plus approfondie. Ce village est splendide, riche en beaux bâtiments et particulièrement bien entretenu : vaut le détour.
Voilà donc une journée particulièrement bien remplie dont nous n’avons qu’à féliciter nos animateurs Jean et Daniel.
Retour à Vendat avec un temps un peu plus chaud.
9h au clocher de Blot l’église et les 13 participants, après avoir dégusté le café gâteaux traditionnel, s’élancent sous un ciel splendide et 15° pour une rando bien alléchante préparée par Jean.
Les 8 premiers km sont surtout composés de descentes et c’est donc en pleine forme, après une pause à St Rémy de Blot, que nous arrivons en vue du Château Rocher. Le temps de se concentrer et nous partons à l’assaut de cette première sérieuse difficulté. La montée est assez raide, mais le château (ou ce qu’il en reste) et le paysage que nous découvrons depuis le plateau, nous récompensent pleinement de nos efforts.
Nous redescendons vers la Sioule afin de pique-niquer à Mathias. Toute bonne chose a une fin et il est temps de s’attaquer dès le démarrage à une belle côte qui va nous ramener en surplomb de la Sioule puis, passant par une source miraculeuse, nous redescendons sur Lisseuil. Un petit repos et nous attaquons la dernière sérieuse difficulté de la journée. Ombragé dans sa partie la plus dure, c’est au soleil, (il fait alors 26° à l’ombre) que nous progressons sur ce splendide chemin en direction de Gerceuil le sommet de cette colline.
Il ne nous reste plus qu’un peu de mal-plat avant de rejoindre Blot l’Eglise que nous atteignons alors que le clocher sonne 15h30. Nous avons parcouru 20 km et 680m de dénivelée.
Les sacs à dos posés et les pieds ravis de retrouver les chaussures de ville il est décidé d’aller prendre un pot dans un café. C’est à Gannat que Bernard nous offrira un rafraîchissement bien mérité : Merci Bernard.
Jean, par cette belle après midi, nous invite à parcourir un circuit inhabituel au départ de Chantelle. Il fait beau, peu de vent et nous partons gaillardement pour 15 km et 200m de dénivelée.
Nous accueillons aujourd’hui Bernard qui vient tester notre activité, bienvenue parmi nous !
Le circuit commence par descendre lentement jusqu’à l’approche de Fournilles puis nous remontons jusqu’à la table d’orientation d’Ussel d’Allier qui nous offre un beau coup d’œil sur la région.
Un petit bonjour à Notre Dame du Retour et nous voici sur la Croisette (un peu en retard, les vedettes sont parties, mais nous avons nos starlettes, n’est ce pas Messieurs !).
Le retour vers Chantelle sous le soleil, nous donne envie de nous arrêter à l’ombre (c’est bien la première fois cette année) pour une dernière petite pause.
Un petit détour pour visiter le village, nous contournons l’église et nous voici de retour au point de départ où Serge se hâte de préparer une belle table pour arroser, avec retard mais non moins dignement, son anniversaire.
Tout terminé, matériel rangé, il ne reste plus qu’à rentrer à Vendat soigner nos coups de soleil,(si, si, j’en connais qui en ont attrapés).
Aujourd’hui : beau temps de saison, ça fait du bien, mais malgré tout nous ne sommes que 15 au départ du château de Busset pour suivre ce parcours concocté par Daniel.
Presque 14 km et 430m de dénivelée nous attendent, mais les bâtons sont prêts et les mollets aussi. Le début de la rando est salué par un petit écureuil pas très sauvage qui va se laisser admirer longuement.
Tout commence par une descente et à l’approche du cours d’eau, le chemin se fait un peu gras mais sans plus.
Un très petit crochet vers le hameau des Corres nous permet de rendre visite à la Vierge de la Goutte.
Encore un effort et l’arrivée à la Croix Chazeau sonne la fin de la montée (enfin la première). Nous entamons la descente sur St-Yorre en passant par les Gays puis la Côte, mais le franchissement du ruisseau du Gourcet se faisant sur un « pont » un peu fragile, Daniel décide pour sauvegarder la troupe entière et intacte, de rejoindre St-Yorre en empruntant le circuit de Coupe Gorge.
Un peu de plat dans la ville et c’est parti pour la dernière et très longue côte (240 m de dénivelée) qui nous ramène, péniblement pour certains, au château de Busset.
Le souffle retrouvé, il est temps de rentrer sur Vendat.
Aujourd’hui une bonne partie des marcheurs habituels est en voyage au pays basque. La grande et moyenne marche ont donc été groupées.
Malgré la pluie du matin 17 marcheurs sont au départ du carrefour des vieilles ventes pour profiter, sous un beau soleil, des 8 km et 60 m de dénivelée que le parcours préparé par Bernard nous offre.
Rapidement, les chemins nous rappellent qu’il a plu récemment. Nous sommes de temps à autres contraints faire un petit tour dans les bois pour échapper aux flaques boueuses. Ces petits détours ont cependant l’avantage de nous faire découvrir pas mal de muguet qui a échappé au 1er mai, mais qui termine sa saison dans les mains expertes de nos cueilleuses.
Nous voici bientôt de retour aux voitures où une petite partie du groupe décide de mettre fin à la promenade pendant que la majorité repart pour une petite rallonge.
Encore quelques kilomètres et quelques glissades dans certains passages et tout le monde se retrouve toujours sous le soleil au carrefour des vieilles ventes.
Retour rapide à Vendat très proche.
Prévisions météo peu encourageantes ce matin 14 participants seulement et défection de la moyenne rando avec qui nous devions pique-niquer à St Léon . Bien sûr nous marcherons quand même comme prévu et déjeunerons seuls, non pas à St Léon, mais à Jaligny.
Café brioches un peu à l’abri sous de grands arbres (on ne sait jamais) et départ joyeux pour le circuit du tacot. C’est Serge qui nous guide sur les 11 km et 160m de dénivelée du jour.
Nous restons au sec jusqu’au Graveron , un joli petit ruisseau, que nous franchissons sur un pont métallique (construction Eiffel ?), mais là, il faut se résoudre à se protéger de la pluie, pas très forte mais quand même bien présente.
Fidèle, elle ne se décidera à nous quitter que quelques kilomètres plus loin, laissant place à un ciel bien nuageux qui ne nous a pas permis de profiter du paysage, ni d’admirer au loin le château de Châtelperron que nous devinons à peine.
Retour sur Jaligny juste avant midi : l’heure de sortir les casse-croutes. Nous profitons des tables et bancs du bord de Besbre pour « savourer » nos repas accompagnés de quelques breuvages blancs et rouges (avec modération). Le soleil, jaloux, daigne quand même mais un peu tard se joindre à nous.
Repas fini, presque plus de café ; rien de grave, nous nous rendons au café du Beaujolais pour terminer en beauté.
Les meilleures choses ont une fin, il est temps de renter sur Vendat.
Un peu frais ce matin au pied de l’église Saint Aignan, mais un ciel radieux et la promesse d’une belle journée ensoleillée.
Café, brioche, chouquettes et hop (enfin il faut le dire vite) c’est parti pour une rando de 19 km et presque 600 m de dénivelée totale.
Les 11 participants descendent vers la Sioule à Neuvial, puis, arrivés sur le plateau, une petite pause au centre aéré de Gannat (il reste du cake) et nous poursuivons notre chemin profitant de paysages fort agréables sous un ciel très légèrement nuageux du plus effet.
Midi approchant et le point de déjeuner étant encore éloigné, il est décidé, lors d’un petit arrêt au bord d’un étang de terminer le cake.
Descente facile jusqu’aux Bignards avant la rude côte qui va nous amener au lieu de pique-nique semi ombragé face à Rochefort.
Le repas assez vite pris, nous voici à nouveau en descente vers la Sioule et nous profitons pleinement d’une marche paisible le long de cette belle rivière avant…… de remonter une nouvelle fois sur le plateau, mais cette fois c’est la dernière, le clocher de Bègue est bientôt en vue et c’est avec plaisir que nous terminons, assis voire affalés, le reste de café du matin.
Une chose est sûre c’est que des journées comme celles-ci, tout le monde en redemande. Merci à nos animateurs.
Le temps est gris, incertain et frais : les capes sont dans les sacs.
Le groupe du jour de 13 marcheurs est emmené par Daniel sur le circuit du Mont Aigu un peu revisité.
Le circuit est vallonné et même Charmant, puis devient un Peulong, mais c’est pour notre plus grand plaisir car dans ce hameau nous sommes accueillis par une habitante que l’on peut qualifier d’originale mais néanmoins sympathique.
Une bonne montée nous amène au Mont Aigu. Après Landier et Vigière, nous apercevons au loin un joli château, celui de Chandian qui est malheureusement caché dans son parc hors de notre vue lorsque nous nous en approchons.
Il ne nous reste plus qu’à terminer notre rando par une gentille côte, mais cela en vaut la peine car pour son anniversaire, une des participantes nous dresse carrément la table sur une belle nappe avec de multiples gourmandises pour ravir nos palais.
Tout bu, tout mangé, retour à Vendat.
Le printemps vient d’arriver, vive le printemps (M Fugain) ! 18 ° un ciel parfaitement bleu, peu de vent, le temps idéal pour les 15 randonneurs du jour. Période de vacances scolaire les grands parents sont de service !
Les 12 km et 270 m de dénivelée sur lesquels Serge nous conduit vont d’abord nous faire longer la voie ferrée Commentry-Gannat. Un petit détour bien pentu le long d’un bois nous permet de rejoindre un beau point de vue sur le viaduc de Rouzat. La descente qui suit, fort mal plate également, nous amène le long de la Sioule non sans avoir admirer le deuxième viaduc du jour, celui de Neuvial.
Une marche paisible le long de la rivière (bien haute suite aux pluies récentes) repose nos mollets et ravit nos yeux du vert tendre des blés et jaune vifs du colza parsemés du blanc des arbres en fleurs le tout sous un beau ciel bleu.
Profitons-en, car voici qu’il faut avaler la longue côte qui va nous ramener sur le plateau à Linard. Il ne nous reste plus, après être passés au pied du château des Ruilliers, qu’à rejoindre St Bonnet.
Retour à Vendat ravis de cette sortie.
Décidément ce printemps n’arrive pas à s’installer ; c’est encore avec des menaces d’orage et 16° que les 17 participants vont entamer cette rando. Jean Louis va nous guider sur le circuit de la fontaine du Lion, qui, nous sommes prévenus, est joyeusement accidenté.
Tout démarre gentiment et la traversée du hameau de la Goutte se fait sans une goutte. Il en sera de même jusqu’aux Martinants, mais la descente sur la Chassagne déjà fort pentue et assez mal pavée se fera sous un bon orage accompagné de grêle. Si ça continue il va falloir prévoir des casques en plus de capes pour les prochaines sorties. Bon, avec quelques précautions, tout le monde s’en est bien sorti une fois de plus. L’orage passé, les capes retrouvent leur place dans les sacs et grimpettes et descentes sont avalés sans problème jusqu’à la rencontre d’un affluent de la Besbre qui demande un peu d’attention pour son franchissement à cause de son niveau un peu haut, mais pas de pieds mouillés. La Besbre quant à elle se franchit sur une passerelle confortable.
Après Moulin Châtel un petit cours d’eau va encore mettre notre sens de l’équilibre à l’épreuve puis nous attaquons les 200m de dénivelée de la longue et dernière côte qui va nous faire rejoindre le Pin .Le ciel se faisant à nouveau menaçant Jean Louis décide, sans aucune protestation des participants, de ne pas faire le petit crochet qui devait nous emmener à la table d’orientation. Un petit arrêt à la fontaine du Lion et nous voici de retour aux voitures, un peu humides et un peu las, mais ravis de l’après-midi passée ensemble sur cette rando de 12 km et 400 m de dénivelée qui nous a permis d’admirer, malgré les nuages, de beaux paysages.
La tête et les jambes n’est-ce pas le rôle essentiel de la retraite sportive ?
C’est dans ce cadre que Jean et Bernard, animateurs de randonnée, ont décidé de faire bénéficier les autres animateurs et pratiquants d’une mise à jour de leurs connaissances sur la lecture de cartes et en particulier sur l’utilisation des techniques nouvelles utilisant le GPS
Cette formation de 3 heures a eu lieu le 4 avril 2016 et a rassemblé 10 participants
Nos deux animateurs sont prêts à assurer une deuxième formation : s’inscrire auprès de Jean si vous êtes intéressés.
La météo n’est pas très optimiste et ce n’est pas la pluie de fin de matinée qui nous encourage. Arrivés à Champs, le ciel n’est plus menaçant et les 18 participants vont suivre Jean sur un parcours que nous n’avons pas encore emprunté dans les Combrailles, décidément nos animateurs nous gâtent en innovant sans cesse ; MERCI.
Le parcours est annoncé pour 14 km assez plat sauf vers la fin. Beaucoup de bâtons vont donc rester dans les coffres de voiture....mais... c’est finalement 370m de dénivelée que nous allons gravir « à mains nues ».
La région est vallonnée, le paysage à la hauteur de nos efforts et le cheminement le long du ruisseau la Cigognel presque romantique.
Nous avons aperçu de loin le village de St Quintin qui rappelle à beaucoup un repas avec un fameux pot-au-feu, et un peu plus loin, le bourg d’Ebreuil (tiens nous n’y avons pas encore fait de repas)
Une dernière mais assez longue côte nous ramène à Champs, un peu de plat pour nous délasser et nous pouvons, bien reposés, déguster les gâteaux préparés par nos deux copines en l’honneur de leur anniversaire.
L’après-midi étant bien et très agréablement consommé il ne nous reste plus qu’à rentrer à Vendat.
Le trajet de Vendat à Fleuriel a nécessité un peu l’usage des essuie-glaces, nous craignons pour la météo de la rando, mais le café-gâteaux est dégusté au sec. Une petite pluie fine nous accompagnera sur quelques kms au départ puis, devant notre ténacité, elle va se lasser et nous abandonner. Peu de vent, un ciel quand même bien triste avec 7°, mais les 12 participants gais et dopés de pâtisseries (Merci mesdames) avancent d’un bon pas mais sans excès sur les bons chemins qui nous portent, sous la conduite de Jean, vers notre premier objectif situé à 17 kms : le restaurant à Chareil-Cintrat. Objectif atteint vers 12h30 et nous y retrouvons Serge qui, en panne de jambe, nous fait le plaisir de nous rejoindre pour partager le repas du jour, et quel repas, bon et copieux (voire un peu trop).
Le redémarrage se fait sous un ciel un peu ensoleillé, c’est mieux que le matin, et c’est tant mieux, car la remise en route est un peu difficile après le repas.
Les 5 km restants, bien que légèrement en montée vers la fin, sont avalés sans problème, une petite visite à l’église (ouverte ce qui est rare) de Fleuriel et nous voici de retour aux voitures.
Notre rando étant terminée, la pluie vient reprendre son œuvre bienfaitrice pour les cultures et nous rentrons sagement à Vendat.
Par cette belle journée ensoleillée mais un peu ventée avec 13°, Bernard nous fait découvrir une région que nous fréquentons rarement : le bocage bourbonnais. Le paysage est vallonné, parsemé d’étangs, de haies et de bétail. C’est donc avec plaisir que les 21 participants vont parcourir les 13 km et 230m de dénivelée.
Nous passons un petit moment à admirer le château des Aix toujours en restauration mais en fort bel état. Plus loin une belle demeure, plus modeste mais qui semble bien abandonnée nous fait prendre conscience de la fragilité de notre patrimoine bâti.Toujours gaillardement, nous retournons vers Laféline, mais en vue du beau clocher en pierre de l’église, alors que tout le monde « sent l’écurie » Bernard nous réserve une surprise : un petit tour autour du village histoire de nous maintenir en forme et terminer cette sortie sur une petite côte.
Nous ne lui en tenons toutefois pas rigueur et précisons que nous sommes prêts à retourner dans cette région quand il voudra.
Un temps splendide et 13 ° ce jour pour un parcours inédit préparé par Bernard. Au départ nous voici 19….non 20 car Daniel nous rejoint juste à temps pour attaquer le « chemin des séquelles » qui, en pente sensible, nous entraine vers un fort agréable parcours forestier. A l’abri dans les bois, nous profitons d’une marche facile sur des chemins agréables et sans boue (c’est bien aussi).
Les bois passés nous revoici à découvert et, mois de mars oblige, il faut se protéger d’une petite bise qui nous pénètre malicieusement.
Un petit crochet vers le ruisseau du Buron et nous reprenons la direction de St Priest.
Il est 16 h 20 lorsque nous rejoignons nos voitures après avoir terminé notre parcours de 12 km et 150 m de dénivelée.
Comme souvent au verger du Vernet, un petit vent frais nous accueille, mais un faible rayon de soleil encourage les 19 participants du jour à se lancer sur les 12 km et 390m de dénivelée que Daniel nous propose.
Dès le début, nous sommes dans le bain (ou presque), une bonne descente glissante à souhait a mis en valeur notre sens de l’équilibre qui, sauf pour quelques participants, s’est avéré encore assez performant. Après 2 kms nous retrouvons des chemins plus propices à la marche et reprenons du coup une vitesse progression normale.
Un peu après le milieu de la rando, les jonquilles promises par Daniel sont là qui n’attendent que les cueilleurs et un petit quart d’heure exceptionnel est accordé pour ramasser de beaux bouquets.
Le reste de la sortie se déroule sereinement avec un passage dans un sous-bois en forme de tunnel naturel court mais assez rare.
Le retour au parking permet à Daniel de sortir sa table de camping pour que nous puissions déguster avec plaisir un bon chocolat chaud ainsi que quelques beignets.
Nous ne nous attardons toutefois pas trop longtemps car le vent frais nous incite à rentrer rapidement dans les voitures.
Belle journée en perspective, mais pas mal d’entre nous sont de garde des petits enfants ce qui fait que nous ne sommes que 12 au départ par un beau temps sec mais petite gelée. Toujours gâtés par nos pâtissières, nous partons d’un bon pas sur de jolis chemins.
Un peu plus tard la traversée du bois de Celzat va quand même mettre nos chaussures à rude épreuve, il est bien difficile de trouver un peu de sec pour poser les pieds. Un peu de route plus loin, nous avons le plaisir de retrouver la « bauge » des Acarins, la ferme qui reste boueuse même par temps sec, alors aujourd’hui c’est l’apothéose ! Avant la traversée des Gouttes Noires, nous décidons de terminer les gâteaux non consommés pendant le café du matin.
C’est donc l’esprit (et l’estomac) tranquilles que nous descendons sur St Etienne de Vicq ; petite grimpette jusqu’à l’église et nous voici à table pour un repas bien désiré.
La troupe repart pleine d’entrain avec de beaux sourires pour terminer cette sortie à bonne cadence en l’absence ou presque de montées.
Nous avons quand même fait 20 km et 390m de dénivelée. Daniel quant à lui, a réussi à nouveau à ramener tout le monde en parfait état.
Retour aux voitures, embrassades, accolades et autres civilités et chacun entame le retour dans ses foyers.
Temps pas très encourageant et vacances scolaires, tous les ingrédients sont réunis pour une petite fréquentation.
13 courageuses et courageux vont donc en découdre sous la direction de Jean et Serge qui, en résident local, nous a mitonné un parcours fort agréable, dans un secteur que nous fréquentons rarement.
Tout démarre gentiment par une courte et un peu raide montée après le tunnel ferroviaire qui nous a vite réchauffés. Puis sur de très bons chemins nous découvrons Beaumont les Randan non sans avoir jeté un regard sur le lointain château de Randan tout en dégustant les excellents petits gâteaux préparés par l’épouse de Serge. Nous avons vite rejoint Mons et c’est en faisant le tour de ce village que nous ressentons quelques gouttes sérieuses, ce n’est pas grave.......juste un petit grain….. se dit-on. Et bien non, une belle et grosse averse nous prive du plaisir d’apprécier l’ « ascension » du puy de Beaumont que nous effectuons tête baissée. Tout va s’arranger un peu plus tard nous permettant de regagner nos voitures sans autre grosse pluie mais avec une température qui est descendue à 4° : c’est encore l’hiver !
Bien trempés mais quand même heureux d’avoir fait une bonne rando, nous rentrons dans nos foyers.
Le temps n’est pas très encourageant et les prévisions météo moyennes mais ce sont quand même 24 participants qui, après le café –gâteau de Martine, démarrent gaiement pour un parcours de 11 km sans dénivelée sous le commandement de Bernard.
Après un petit passage dans la forêt des Mouzières le parcours est découvert. Nous passons le domaine des Daguenets et longeons un bel étang. Nous rencontrons alors un splendide blaireau qui malheureusement git dans le caniveau après avoir été heurté par un véhicule. C’est quand même un bel animal très difficile à observer dans son habitat naturel. Un peu plus tard notre route nous permet de voir la splendide bâtisse de l’hospice de Gayette. Un dernier passage dans un petit bois (certains envisagent de refaire leur stock de bois pour l’hiver) et nous voici de retour à Montoldre, sans avoir reçu une goutte de pluie. Les copains de la moyenne rando nous attendent déjà pour déguster une fameuse choucroute qui est la bienvenue par ce temps un peu frais et venteux. Au-revoir rapides et chacun regagne rapidement les véhicules pour échapper au vent toujours froid.
De plus en plus fort, nous voici 20 au départ de cette journée. La troupe s’élance de Charroux malgré le brouillard qui va nous accompagner au départ et même se transformer en léger crachin après Jenzat.
Mais grâce au rituel et de plus en plus copieux café gâteau, nous avions l’énergie suffisante pour suivre sans problème Jean assisté de Serge qui vont nous guider sur les 18 km et 250 m de dénivelée.
La descente un peu humide et boueuse qui nous mène à la Sioule mérite un peu d’attention mais ensuite s’en est fini des difficultés pour le matin.
Non loin du Mayet d’Ecole, ce sont 3 chevreuils qui nous font une démonstration de course de fond impressionnante tant par la vitesse que la longueur.
Le repas à St Germain de salles se déroule sans problème et comme à Arfeuilles, le soleil nous accompagne pour le redémarrage. Encore un peu de plat et c’est la remontée assez douce sur Charroux.
Comme il reste du café et des gâteaux, après quelques étirements sous la conduite de Marie Claude, il faut se remettre à la dégustation, ce n’est pas une vie !!!
Encore une bonne journée conviviale et sportive.
Le temps est à nouveau splendide avec 15° et….25 personnes se retrouvent à l’église de Biozat pour faire un petit tour de 12 km et 140 m de dénivelée autour de Charmes.
Jean assisté de Marie Noëlle ont la charge de ramener tout le groupe aux voitures après cette belle balade sans grande dénivelée mais parfaite pour la saison.
De temps à autres, il était bon de décrotter un peu les chaussures qui s’alourdissaient de cette belle terre qui s’attache si amoureusement à nos semelles, mais quelques passages sur route satisfaisaient parfaitement à ces besoins.
De nombreux changements de direction, parfois difficiles à localiser pour nos accompagnateurs, mais sans aucune erreur, ont rompu la potentielle monotonie du parcours.
Le modeste point culminant (420m) nous a permis d’avoir une vue panoramique rare de toute la montagne bourbonnaise et même de Pierre sur Haute encore enneigé.
Retour aux voitures ou Jean nous offre un pot en l’honneur de son anniversaire.
Temps moyen pour la saison, ce qui fait que 16 participants se retrouvent au stade de la Chapelle pour suivre Daniel dans son fief sur un parcours de 13 km et 340 m de dénivelée.
Le ciel est couvert mais pas de pluie ni de vent avec 5°. Le circuit ne présentant au départ pas de côtes importantes, les vêtements chauds et les gants sont les bienvenus.
Il nous faut attendre 3km pour attaquer enfin une montée réchauffante dans le Bois de Gagnol pour atteindre 540m d’altitude.
Les collines alentour sont encore recouvertes de la neige du week end, mais nous gardons les pieds au sec (enfin presque la boue étant de saison sur les chemins).
Ce parcours nous a également permis de côtoyer ou apercevoir 5 étangs d’importance variable dont le principal celui de Montgaret.
Nous constatons avec plaisir (n’est-ce pas Messieurs) que les dames ont repris la majorité du groupe.
Pas de rencontre animalière particulière ce jour si ce n’est un splendide taureau, mais bien clos dans son pré.
Retour à 17h au stade de La Chapelle et retour à Vendat sans problème.
12h45, parking de la salle polyvalente de Vendat, quelques rares voitures arrivent au rendez-vous…..mais personne n’en descend tant la pluie est glaciale, la température de 6° et le vent fort. 12h 55 cela commence à s’arranger mais à 13h seulement 6 personnes courageuses partent pour Loriges.
Sur place 8 marcheurs nous attendent et le soleil est de retour.
14 participants vont donc se lancer sur un parcours de 12 km et 60m de dénivelée sélectionné par Bernard. Le vent est frais dans cette plaine, mais le soleil va nous accompagner pendant 1h30 nous baignant dans une belle lumière.
Nous noterons toutefois que les dames, habituellement majoritaires sont cette fois minoritaires, nous n’osons pas supposer que le mauvais temps soit la cause, mais …quand même ; nous comptons sur vous pour la semaine prochaine, ne nous abandonnez pas !
Un petit grain nous obligera ensuite à nous équiper de capes (non sans mal pour certaines) et autres parapluies, mais pas pour bien longtemps, la rando va se terminer sous un ciel couvert mais sec.
Le parcours s’est avéré un peu boueux, mais sans excès, juste pour salir les chaussures, pas trop mal pour la saison, même pas une petite chute pour rire.
Côté animalier, cette semaine, c’est Odette qui s’est distinguée, récupérant un petit oiseau plutôt mal en point. Il fera la rando dans un de ses gants (sans la main dedans) et c’est en pleine forme qu’il est revenu à Vendat.
Nous ne manquerons pas de prendre de ses nouvelles.
2016 commence comme 2015 s’est terminée, le temps pour cette première rando de l’année est beau et pas froid 8°, certes un peu de vent nous incite à fermer les blousons, mais nous sommes en janvier !
A proximité de la salle polyvalente de St Rémy, voici donc 22 participants qui ouvrent les hostilités en se souhaitant chaleureusement une BONNE ANNEE.
Les 12 km et 140 m de dénivelée se déroulent sans encombre sous l’œil vigilant de Bernard qui s’en est bien tenu au programme : 2 côtes et pas une petite en plus, serait-ce l’année de la vérité ? A suivre…..
Cette fois, ce sont plusieurs groupes de chevreuils qui ont bien voulu égayer notre sortie, certes ils étaient au loin, mais quand même c’est toujours sympa. Un gentil poney en liberté au lieu-dit le tanneur est lui venu quémander quelques caresses qui lui ont été gentiment accordées.
A la salle polyvalente de St Rémy la moyenne rando nous attendait après sa sortie autour du château Lafont.
Le temps de préparer galettes et boissons, Christine et sa marche promenade nous ont rejoints. Françis nous présente ses vœux. Nous pouvons alors déguster les toujours délicieuses galettes de Maître (si, si, il le mérite) Serge accompagnées de petits coups de cidre.
Beau démarrage pour cette année 2016